Tendances en tourisme 2020: quoi retenir pour vos stratégies de marketing?

Tendances en tourisme 2020: quoi retenir pour vos stratégies de marketing?

Alors que la démographie est en hausse tout comme la richesse des économies émergentes du monde, que la technologie ne cesse de s’améliorer autant que la mobilité humaine, de plus en plus de voyageurs fourmillent sur la planète qui atteint presque 8 milliards d’habitants cette année.

Pourtant l’anxiété écologique et le flight shaming n’auront jamais été aussi présents. Les effets du tourisme sur la planète font les manchettes, les marches mondiales pour le climat menées par Greta Thunberg se multiplient et l’ONU a décrété l’urgence climatique.

Afin d’analyser ces courants planétaires, plus de 300 personnes étaient présentes en janvier 2020 pour la traditionnelle Conférence annuelle sur les tendances touristiques: une année 2020 sous le signe de la transformation, présentée pour la 7e année par la Chaire de tourisme Transat, en collaboration avec Tourisme Montréal.

Au programme, l’analyse des tendances en tourisme international. Voici ce que Voyage numériQC a retenu des résultats présentés, d’abord avec un retour sur les tendances qui ont bouleversé le monde en 2019 et dicté les courants à venir en 2020, pour ensuite s’attaquer aux prévisions des experts pour l’année à venir!

Gueuleton touristique - Tendances en tourisme 2020 - Chaire de tourisme Transat

Prise de conscience en matière de cybersécurité

Ces derniers mois ont mis à jour de vastes scandales de piratage de données (Desjardins, Marriott, etc.) et l’étendue des dégâts potentiels qu’ils occasionnent. Les voyageurs prennent de plus en plus conscience de l’importance de la cybersécurité. Ils sont plus frileux à partager leurs données et on prédit que 2020 sera l’année des cybermenaces, notamment pour les PME non protégées. L’intelligence artificielle et la blockchain offrent la possibilité de déléguer la confiance des utilisateurs à la technologie, ouvrant la porte à des stratagèmes qu’il tarde aux spécialistes de découvrir et prévenir.

Encore et toujours plus de voyageurs en 2020

Avec une planète comptant 2,5 milliards d’habitants en 1950 contre presque 8 milliards cette année, pas étonnant que l’on prenne en compte une hausse de voyageurs dans le monde. Croissance démographique, accroissement de la richesse des économies émergentes, évolution technologique et amélioration de la mobilité contribuent à cet essor. La gestion des flux de touristes se doivent donc d’être placés au cœur de vos initiatives de publicité et de marketing!

Surtourisme ou « overtourism »

Rien d’étonnant au fait que le surtourisme soit au cœur des tendances en tourisme de 2020! Malgré l’amplification médiatique qui les entoure, les enjeux sont bien réels et ce mot utilisé à toutes les sauces depuis 3 ans n’est pas près de disparaître.

Il existe d’ailleurs depuis belle lurette… Les Français s’inquiétaient du tourisme de masse dès le début du XIXe siècle avec l’arrivée de Britanniques par le tout nouveau train vers Paris. Christaller parlait aussi de surtourisme sur la Côte d’Azur en 1963-64, comme Butler dans les années 1980 lorsqu’il traitait du cycle de vie des destinations dans son ouvrage de référence.

En somme, il ne faut pas donner dans la panique non plus, mais agir concrètement! Le manque de planification touristique a pris de court certaines destinations comme l’Islande ou en encore Venise. Pourtant, alors qu’Amsterdam supplie les touristes de l’épargner, on y procède à la construction d’un nouveau terminal de croisière et de 8000 nouvelles chambres d’hôtel…

Mark de Jong - Unsplash
Mark de Jong – Unsplash

Selon le rapport ‘Overtourism’? – Understanding and Managing Urban Tourism Growth beyond Perceptions de la World Tourism Organization, les solutions au surtourisme sont:

  • Miser sur la qualité des expériences plutôt que le nombre de visiteurs;
  • Mieux comprendre les préoccupations citoyennes;
  • Améliorer les pratiques de gestion et de planification des activités touristiques;
  • Limiter la demande dans certains lieux;
  • Limiter la demande en imposant des tarifs, règles ou contraintes;
  • Promouvoir des destinations moins connues ou la basse saison;
  • Informer les voyageurs des coutumes locales et des comportements à adopter.

Un bel exemple de ce dernier modèle est l’Icelandic Pledge ou engagement islandais que les voyageurs sont invités à signer à leur arrivée en Islande. Ce document simple expose rapidement les comportements idéaux à adopter pendant le voyage au pays!

Fake news

Depuis l’entrée en fonction de Trump, les fake news (ou fausses nouvelles) ont pris d’assaut nos réseaux… Intention malhonnête, abondance de fausses informations, outils pour inciter à cliquer (« click bait »)… Toutes les raisons sont « bonnes » pour utiliser les vulnérabilités individuelles et la naïveté de certains publics friands de scandales dans ce règne des « opinions ».

Difficile de se distinguer dans cet environnement en ne se prêtant pas à ce jeu de duperie ou de se faire entendre quand tout le monde émet des avis et des commentaires à tout vent! L’authenticité, le storytelling, l’éthique et la rectitude des informations publiées sont donc de mise pour toutes vos publications touristiques. Une tendance à l’éloignement de ces pratiques au profit du vrai, du réel et du tangible est à prévoir. Fort à parier que cela s’amplifiera en 2020.

Anxiété généralisée et transition écologique

L’urgence climatique a été décrétée par l’ONU et Greta fait la une avec ses marches mondiales pour le climat. Les touristes sont constamment montrés du doigt pour leur impact environnemental lorsqu’ils voyagent en avion. Le flight shaming est à son paroxysme dans l’industrie. L’écoanxiété et ses effets sur le tourisme ne peuvent être niés et doivent être inclus dans toute stratégie de marketing touristique. Pensez vert!

Jerry Zhang - Unsplash
Jerry Zhang – Unsplash

Tourisme durable, équitable et solidaire

Dans la même veine que le surtourisme, le tourisme durable ou équitable/solidaire, selon vos préférences, fait encore jaser 15 années après son apparition dans le jargon de l’industrie.

Les offices de tourisme et entreprises du voyage sont invités en 2020 encore plus que jamais à sensibiliser et proposer des solutions pratico-pratiques à l’écosystème touristique, à montrer l’exemple avec des circuits écoresponsables ou des alternatives vertes. Comment distinguer le faux du vrai alors que le marketing de greenwashing (écoblanchiment, processus de marketing mettant de l’avant une image écologiquement responsable de façon trompeuse) est si commun? Ça demeure un défi qu’il faudra relever en 2020!

Le saviez-vous?

  • Un voyageur québécois sur deux dit porter attention à l’information sur la protection de l’environnement et à l’émission de carbone concernant les activités touristiques qu’il choisit.
  • 87% des voyageurs veulent voyager durablement.
  • 72% des voyageurs mentionnent qu’il faut agir maintenant, surtout les 46-55 ans (74%) et les millénariaux (millenials) (71%).
  • 70% des voyageurs québécois s’impliquent dans les pratiques responsables en voyage (recyclage, compostage, etc.).

Tourisme bienveillant

De l’ère de l’égoportrait, on passe à l’époque de la bienveillance ou du tourisme bienveillant. Ça mange quoi en hiver? Il s’agit de l’envie d’agir dans son périmètre d’influence sans besoin de retour.

Alors qu’on a pu attribuer au voyageur moderne les sobriquets d’égocentrique ou d’égoïste avec ses perches à selfie pour se photographier à tout vent, la tendance à la prise de conscience prendra de plus en plus de place en 2020.

L’empathie, le désir d’inclusion et la bienveillance sont en émergence. Un exemple local est le motel Blanche d’Haberville de Saint-Jean-Port-Joli qui a gardé ses clients à coucher gratuitement pour éviter qu’ils ne mettent leur vie en danger en prenant la route pendant une tempête. Le motel n’attendait rien en retour et a posé ce geste pour ses clients, puis s’est retrouvé à faire les manchettes grâce à cet acte de bienveillance.

Espérons que d’autres emboîteront le pas et que le mouvement de tourisme bienveillant comme on a pu voir en Auvergne Rhône-Alpes s’accélèrera.

Quête de sens en tourisme

Voyager pour cocher les éléments sur sa bucket list n’est plus en vogue. Le tourisme transformationnel et le slow tourism ont la cote. Le tempo de la vie quotidienne ne cesse d’augmenter et la détresse psychologique est presque une nouvelle norme. Les vacances sont donc un moment approprié pour la quête de sens, ralentir, prendre son temps, se dépasser, repousser ses limites et soutenir des causes.

Vivre une expérience sensorielle positive est au cœur de ce phénomène, que ce soit pour le goût recherché sur les routes locales ou les restaurants de la ferme à la table, la vue par les aménagements urbains immersifs et les lieux instagrammesques, l’odorat par les expositions olfactives originales, l’ouïe lors de festivals musicaux hors du commun ou encore le toucher par les visites participatives où les voyageurs sont invités à découvrir les textures environnantes. Intégrez ces pratiques dans votre offre saisonnière!

Essoufflement des grands de ce monde

Les experts de la Chaire de tourisme Transat prédisent la croissance du micro et l’adaptation de l’industrie au Small is beautiful. Ces derniers mois et dernières années, les grands du tourisme se sont essoufflés, que ce soit les festivals populaires, agences de voyage ou compagnies aériennes qui multiplient les faillites (on pense notamment à Thomas Cook et Wow Air). Pourtant, rappelons-nous que le tourisme est en hausse…

Les voyageurs n’apprécient plus ces géants et préfèrent une expérience à caractère unique, une ambiance intimiste, l’impression d’avoir accès à une exclusivité, ce qui confère un plus grand sentiment d’appartenance. Une adaptation du secteur s’impose, avec la création de micro-expériences, de nouveaux lieux, de microvoyages.

Il devient de plus en plus important d’offrir le bon contenu au bon voyageur au bon moment dans son parcours d’achat, comme il fait désormais partie d’un microcréneau plutôt que de la catégorie générique de « touriste ». 2020 vous met donc au défi de la personnalisation!

Sven Brandsma - Unsplash
Sven Brandsma – Unsplash

Pour 2020, les experts prédisent également :

  • Un retour des nationalismes et d’un certain populisme en Occident avec notamment des craintes liées à l’immigration, ce qui occasionnera sans doute des contraintes commerciales à considérer.
  • La mort des mégadonnées au profit de la donnée intelligente, ou du smart data, qui intègre mieux le facteur humain à l’innovation.
  • L’utilisation des sciences du comportement et de la biométrie pour mieux anticiper la façon d’accompagner les voyageurs pendant leurs déplacements.

Serment des tendances 2020

En guise de conclusion à sa présentation des tendances 2020, la Chaire invite les acteurs de l’industrie québécoise à s’approprier le serment des tendances 2020 suivant. L’adopterez-vous?

 Serment des tendances 2020 - Réseau de veille en tourisme

Vous souhaitez obtenir plus d’informations au sujet des tendances 2020 en tourisme et l’événement auquel Voyage numériQC a assisté? Ces articles devraient s’avérer utiles :

Pour approfondir vos connaissances en marketing de contenu, marketing d’influence ou collaboration avec des influenceurs :

Quelle est la tendance touristique la plus importante pour 2020 à votre avis?

#Pub: bien divulguer un partenariat avec une marque

#Pub: bien divulguer un partenariat avec une marque

Les médias sociaux, les blogues et les vlogs sont maintenant utilisés à toutes sauces et, bien « qu’officiellement » aucune loi ne régisse leurs utilisations au Canada, les Normes canadiennes de la publicité (NCP) ont émis un guide de « Lignes directrices sur la divulgation » sur le marketing d’influence en juin dernier. Ce guide, qui est appelé à évoluer selon les nouvelles tendances en ligne, se veut une référence auprès des marques, influenceurs et créateurs de contenus. Qu’est-ce qu’on a à gagner de suivre ces recommandations? La confiance du public qui lit, regarde, et consomme les médias en ligne!

À quoi servent les lignes directrices sur la divulgation en marketing d’influence?

Afin de démystifier les points les plus importants, Voyage numériQC s’est rendu à Influence Your World 2018, conférence présentée dans le cadre de e-Commerce-Quebec 2018. Une courte présentation d’une directrice des Normes canadiennes de la publicité nous a d’abord rappelé que la mission du NCP est surtout de protéger le public face à des publications et publicités trompeuses et mensongères. Son rôle est de guider et non de moraliser ou juger les « contrevenants ».

Lien vers les lignes directrices sur la divulgation

Pourquoi respecter les règles de divulgation pour les influenceurs?

En gros, si vous ne suivez pas les règles et recommandations, vous pourriez vous faire taper sur les doigts, sans plus. Alors pourquoi les suivre alors que tant ne le font pas? Pour le bien-être de la communauté des créateurs de contenus, pour ceux qui en font un métier et désirent se bâtir une carrière basée sur la vérité, la transparence et le professionnalisme.

Analysons quelques règles émises par le NCP, exemples à l’appui.

Comment divulguer un partenariat de marque ou de marketing d’influence?

« Les divulgations doivent être indépendantes des réseaux de médias sociaux ou des réglages propres à chaque réseau » et  « Les divulgations doivent être communiquées clairement. »

Dans le texte d’une publication, il doit clairement y avoir une mention de partenariat, gratuité, produit reçu, publicité ou invitation. Cette mention ne doit pas être enfouie à la fin de 15 mots-clics. Bien que Facebook et Instagram permettent la notion « Sponsorisé », elle ne suffit pas à divulguer la nature du lien entre la marque et l’influenceur. Cette dernière doit donc être utilisée en plus de la mention visible dans le texte de la publication.

Exemple du même partenariat sur deux réseaux sociaux:

Divugation #ad #pub sur Instagram - Cinq Fourchettes

Partenariat sur Facebook - Cinq Fourchettes

Et sur le blogue de Béatrice, la mention Commandité.

Divulgation de commandite - Blogue de Béatrice

« Les vidéos [et blogues]: les divulgations doivent être directes et identifiables. »

Comme la plupart d’entre nous ne lisent rarement un texte jusqu’à la fin, ou ne regardent une vidéo dans son entièreté, les divulgations de partenariats doivent être faites au début de la publication. En vidéo, il est important d’ajouter la mention tant au visuel qu’à l’audio comme certaines plateformes commencent les vidéos sans son d’abord. Dans le cas des billets de blogue, le NCP recommande fortement la mention d’invitation, produits reçus, ou commanditaire dans les premières phrases du texte. La divulgation d’un partenariat en bas de page est bien, mais risque de ne pas être lu par tous les lecteurs. Exemples : « XX m’a demandé de vous raconter ma pire histoire de… » ou encore «  En collaboration avec XX, j’ai produit cette vidéo ».

Paid partnership - Sarahcout - Instagram

« Les divulgations doivent être faites dans la langue dans laquelle l’appui est donné. »

Compte Instagram en anglais, mots-clics et divulgations précises en anglais. Compte Facebook en français, mots-clics et divulgations dans cette même langue. Il faut donc éviter les #ad ou #sponsored sur un compte francophone! Nous sommes plusieurs à utiliser #ad par défaut, puisque c’est plus clair qu’en français, mais il faut modifier cette habitude.

« Ne pas se contenter d’identifier la marque. »

“Taguer” la marque ne suffit pas à préciser le lien entre celle-ci et l’influenceur. La nature du partenariat doit être explicite dans le texte accompagnant la photo ou la publication. “L’utilisation de mots-clics comme ‘#collab’ n’indique pas clairement qu’il s’agit d’un billet commandité et payé ou que ce produit est un cadeau. Des inclusions comme ‘merci à la marque X de m’avoir invité(e)’ ou ‘je suis à l’évènement X avec la marque X’ suffisent.”

Selon les Normes canadiennes de la publicité, “Les mots-clics qui sont considérés comme clairs et qui sont généralement reconnus comprennent, entre autres:

En français: #pub, #commandité, #XYZ_ambassadeur, #XYZ_partenaire (où ‘XYZ’ est le nom de la marque)  

En anglais: #ad, #sponsored, #XYZ_Ambassador, #XYZ_Partner”

Pour le guide complet, rendez-vous ici.

Règles de divulgation en marketing d'influence - Partenariats et collaborations

Organiser un concours dans les règles de l’art

Petit ajout de notre part au sujet des fameux concours. Les règles Facebook et Instagram changent régulièrement, mais sachez d’abord qu’au Canada, tout prix d’une valeur de 100$ et plus doit être inscrit à la Régie des alcools et des jeux.

Le coût pour inscrire le concours dépend de la valeur totale du prix et de l’endroit où votre concours est valide (ex. : Québec seulement = 10% de la valeur du prix).  Les règlements de participation devront être clairement inscrits sur votre site afin que les participants puissent s’y référer. Vous devez aussi inscrire sur votre publication à qui s’adresse le concours, le prix, les dates du concours, date de tirage du prix et surtout, la façon de participer.

Cliquez ici pour le lien vers les règlements de la RACJ.

Et les règles de concours sur Facebook?

Les méthodes de participation permises sur Facebook, en date de publication de ce billet, sont de demander de:

  1. Aimer ou commenter une publication sur votre page (ex.: “Aimez cette publication pour participer”).
  2. Publier sur votre page (ex.: “Publiez sur cette page une photo de XYZ pour remporter XX”).
  3. Envoyer un message à votre page.
  4. Mentionner que ce concours n’est pas associé à Facebook.

Les profils personnels ne peuvent pas être utilisés pour compiler des entrées. Par exemple, demander à des personnes de partager une publication sur leur profil n’est pas autorisé. “Partagez sur votre profil pour participer”, “Identifiez ou taguez un ami…” ou “Partagez sur le profil de votre ami pour obtenir plus de participations”), c’est non.

Non seulement c’est interdit, mais comme les profils sont privés, il est mathématiquement impossible de voir toutes les participations, donc les résultats du concours sont automatiquement faussés.

Vous pouvez consulter la liste complète des conditions de concours Facebook ici.

Concours Page Facebook - Règles - Moi, mes souliers

Et les concours sur Instagram?

Les règles de participation sur Instagram sont un peu plus floues malheureusement, mais doivent tout de même inclure à qui s’adresse le concours, le prix, les dates du concours, date de tirage du prix et surtout, la façon de participer.

Qui est responsable de l’application de ces règles de divulgation de partenariats?

La responsabilité de la divulgation est partagée entre la marque et le créateur de contenu. La marque doit s’assurer que le travail de l’influenceur est fait selon les normes en vigueur et le créateur, lui, ne doit pas flouer son public en faisant de la promotion mensongère.

Bien qu’il ne soit pas toujours facile d’y voir clair quant aux règles de divulgation des partenariats de marque et de marketing d’influence, nous gagnons tous à suivre ces recommandations!

Vous avez des questions ou des exemples de collaborations exemplaires?

Vous êtes à la recherche de formations, de conférences ou de consultation sur le sujet? Voyage numériQC vous offre ce service. Communiquez avec nous dès maintenant!

Quel avenir pour le blogging d’ici 10 ans?

Quel avenir pour le blogging d’ici 10 ans?

Cet article de Webmarketing&Com présente une analyse intéressante de l’avenir des blogues. Survivront-ils? Auront-ils à changer? Quelles sont les tendances et les modifications que l’on retrouve parmi les blogueurs et les influenceurs ces dernières années? Êtes-vous d’accord avec leurs propos?

Lisez l’article complet ici.

Extrait : En octobre 2006, lorsque je rédigeais les premières lignes de Webmarketing & co’m, j’étais loin de me douter que 10 ans plus tard je serai toujours derrière mon écran à bloguer accompagné d’une centaine de contributeurs. À l’occasion de cette première décennie passée ensemble, je vous propose une réflexion sur l’avenir du blogging. À quoi doit-on s’attendre pour ces 10 prochaines années ? Réflexion…

 

Webmarketing&com - Quel avenir pour le blogging?